Aujourd’hui, je suis arrivée au bout des 750 pages des Trente glorieuses chinoises, l’ouvrage de Caroline Puel aux éditions Perrin.
J’ai esquissé un modeste sourire de satisfaction.
J’ai dit à mon inséparable : « Ca y est, j’ai fini mon livre. Tu sais, il faisait quand même 750 pages. »
(En vrai, la numérotation s’arrête à 749, mais ne gâchez pas mon plaisir.)
(Et surtout, ne lui dites pas.)